L'Eternel fit souffler de la mer un vent, qui amena des cailles, et les répandit sur le camp, environ une journée de chemin d'un côté et environ une journée de chemin de l'autre côté, autour du camp. Il y en avait près de deux coudées au-dessus de la surface de la terre.
Soprou, então, um vento da parte do Senhor e, do lado do mar, trouxe codornizes que deixou cair junto ao arraial quase caminho de um dia de um e de outro lado, à roda do arraial, a cerca de dois côvados da terra.